Non, une cartomancienne sérieuse éthique ne doit pas prédire la mort

cartomancienne sérieuse éthique, responsabilité et illusions dangereuses dans la pratique divinatoire

Préambule : une rumeur tenace, et un malentendu dangereux

En tant que cartomancienne sérieuse éthique, je tiens à expliquer pourquoi il est irresponsable de prédire la mort. Il y a toujours quelqu’un pour dire : « « Elle est incroyable, elle a vu la mort de mon grand-père avant qu’il ne parte. »»

Comme si annoncer un décès était le nec plus ultra d’un don. Comme si toucher au morbide donnait de la crédibilité. Comme si on pouvait jouer avec l’ombre sans en payer le prix.

cartomancienne sérieuse éthique

Non. Annoncer une mort, ce n’est pas une preuve de talent. C’est au mieux une erreur de lecture, au pire une faute éthique grave. Ce que je défends ici, c’est une cartomancie lumineuse, connectée à des énergies de bienveillance, et respectueuse des personnes. Une cartomancie qui ne surfe ni sur la peur, ni sur l’ego.

Sur Demande au Tarot, j’utilise trois jeux complémentaires : le Tarot Rider Waite, l’oracle de Belline, et l’oracle de la Triade. Chacun a ses nuances, son langage, ses manières d’évoquer les fins de cycles. Il est donc essentiel de les connaître avec précision, et de les lire avec une conscience éthique — pour ne jamais transformer un symbole en prédiction erronée.


1. Prédire la mort, est-ce même possible ? Cartes noires, esprits clairs

Prenons le Petit Lenormand. La carte Cercueil, souvent mal comprise, est une carte de transformation, de fin de cycle. Elle peut parler de fatigue, d’arrêt, d’une période où tout semble s’éteindre… mais pas d’un décès physique à annoncer à une date précise. Si vous y voyez une mort, posez-vous cette question : est-ce vraiment la carte qui parle, ou vos propres peurs ?

Dans le Tarot de Marseille ou le Rider-Waite, la fameuse carte XIII, souvent appelée « La Mort », ne mentionne nulle part une fin biologique. Elle symbolise un changement radical, une mue, une nécessité de lâcher prise. Rien de morbide ici, sauf si l’on projette ses angoisses.

Et si l’on consulte l’oracle de la Triade, la carte Nadir, sombre et puissante, évoque le fond d’un cycle. Oui, c’est une chute, une crise. Mais c’est aussi un appel au rebond. À aucun moment elle ne s’adresse à notre certificat de décès.

Certaines cartes parlent de fin, de rupture, de transformation. Et parfois, elles peuvent accompagner un deuil — mais elles ne disent pas qui va mourir, ni quand, ni comment et c’est là qu’on voit la cartomancienne sérieuse éthique.

Dans un jeu bien interprété, ces cartes sont des messages symboliques, jamais des annonces macabres. Les cartes ne remplacent ni les médecins, ni les psys, ni les forces de la vie.

Et puis, soyons clairs : ce qu’on capte en guidance vient d’une connexion. Moi, je demande à recevoir uniquement des messages issus des énergies de lumière pure. Je ne laisse pas de place au bas astral, ni à des entités qui s’inviteraient dans un tirage pour impressionner ou faire peur. Et surtout, je ne canalise pas tout ce qui passe. Je canalise ce qui est bon, juste, utile.


2. La carte de la Mort (Tarot Rider-Waite / Tarot de Marseille)

Ah, la fameuse carte n°13. Celle qu’on ne nommait même pas dans le Marseille originel. Et pourtant… Cette carte ne parle pas de mort physique. Elle parle de transformation, de mue, de rupture nécessaire. Elle vient dire que quelque chose doit se terminer pour que quelque chose d’autre puisse commencer.

👉 Exemple 1 – Fabien, un client en reconversion
Fabien a commandé un tirage flash avec la question :

« Vais-je réussir à m’adapter à ce nouveau poste ? »
La carte qui sort ? La Mort.
C’est une carte forte, mais ici elle n’a rien de sinistre. Elle dit simplement : Tu ne peux pas t’adapter sans laisser mourir ton ancien “toi”.
L’homme que tu étais dans l’ancien job doit céder la place à celui que tu deviens.
Ce n’est pas un mauvais présage, c’est un encouragement à lâcher l’ancien.


3. Les cartes plus explicites de l’oracle de la Triade : Mort (54) et Malheur (40) – analysées par une cartomancienne sérieuse éthique.

Dans l’oracle de la Triade, certaines cartes frappent fort, visuellement et symboliquement. La carte Mort (n°54), avec son tombeau et ses symboles funéraires, peut faire frissonner au premier regard. Mais là encore, toute lecture sérieuse et éthique impose une décantation : cette carte ne désigne pas la mort physique d’un proche. Elle parle de rupture, de fin nécessaire, de deuil au sens large — relationnel, psychologique, professionnel. Elle peut accompagner un véritable passage intérieur, un travail de détachement ou un processus de reconstruction. Lorsqu’elle tombe dans un tirage plus large, elle annonce une porte qui se ferme… pour que quelque chose d’autre, plus aligné, puisse advenir.

Autre carte redoutée : Malheur (n°40). Elle évoque la douleur, parfois le choc brutal, l’événement qui bouleverse. Mais ici encore, il s’agit de résonance émotionnelle, pas de prédiction. Une cartomancienne sérieuse éthique ne s’arrête pas à l’impact visuel ou lexical : elle traduit, nuance, contextualise. Elle rappelle que même dans la tourmente, un chemin d’évolution est possible.

Dans une guidance à trois cartes, la carte Mort peut par exemple venir encadrer un changement de cycle après un divorce difficile, ou accompagner un héritage (matériel ou émotionnel) que l’on commence seulement à intégrer. La carte Malheur, elle, peut illustrer le choc d’un licenciement — mais associé à des cartes de reconstruction, elle ouvre vers un nouveau départ. Rien de morbide ici. Juste la vie, dans ses vagues.


4. Le Cercueil du Petit Lenormand : silence, fin, mutation

Le Cercueil, dans le Petit Lenormand, marque un arrêt. C’est la fin d’un cycle, le silence qui précède le renouveau. Une carte qui invite à ralentir, à laisser reposer, à tourner la page. Elle est puissante, mais jamais fataliste. Comment moi cartomancienne sérieuse éthique je vous interprète ici cette carte ?

👉 Exemple 2 – Une guidance en live
En consultation, une jeune femme reçoit la carte du Cercueil sur la question :

« Pourquoi cette histoire me hante encore ? »
Le message est limpide : il faut symboliquement enterrer cette relation, faire le deuil de ce qui n’a pas eu lieu, déposer les armes. Pas de drame, juste un processus de réparation à entamer. La carte vient valider un besoin de mise à distance, de paix intérieure.


5. Le danger d’une parole sans garde-fou – cartomancienne sérieuse éthique

Annoncer la mort à quelqu’un, c’est poser sur ses épaules un poids que même les médecins s’interdisent sans certitude. Imaginez entendre : « Je vois un deuil prochain ». Comment vivre après ça ? Faut-il prévenir ses proches ? Écrire un testament ? Ou simplement angoisser chaque matin en se demandant si « c’est aujourd’hui » ? Alors c’est juste impossible pour une cartomancienne sérieuse éthique.

Une cartomancienne sérieuse éthique ne doit pas prononcer ce genre de phrases. Ce n’est pas une question de tabou, c’est une question de conscience. Parce que je ne suis pas médecin, pas prophétesse, pas oracle antique, je suis cartomancienne sérieuse éthique. Parce qu’annoncer la mort est une transgression violente de l’intimité d’une personne. Parce que personne ne devrait entendre ce genre de message, même si c’était « vrai ».

Et surtout, parce que je fais appel à des énergies qui ont une exigence éthique. On ne me “montre” que ce qui peut être reçu avec amour, transformé, utilisé pour avancer.

👉 C’est là qu’un petit rappel s’impose : une guidance, ce n’est pas un verdict. C’est une lumière. Un chemin éclairé. Et une carte ne vaut que par l’intention qu’on y met.


6. Dernier exemple – Sandrine et l’amour en déséquilibre

👉 Exemple 3 – Sandrine, tirage flash, une seule carte
Question posée :

« Est-ce que cette relation est équilibrée ? »
La carte tirée ? Encore la Mort.
Et là, pas de suspense : la relation doit s’arrêter.
Ce n’est pas un blocage temporaire, c’est un appel à la coupure franche.
Et ce n’est pas parce qu’il y a la Mort que quelqu’un va mourir.
C’est juste que l’histoire est finie, et que s’acharner serait une douleur inutile.
Et puis, parfois, il faut tuer l’illusion pour retrouver la liberté.
(Pardon pour ce mot. Il ne faut pas prédire la mort, mais parfois, il faut tuer une métaphore.)


7. Quand le bas astral s’invite à la table

Certaines personnes disent « mais moi, je l’ai vu, je l’ai ressenti, je suis connectée ». Soit. Mais connectée à quoi ? Il existe différents niveaux vibratoires. Et si on ne filtre pas, on peut capter des énergies erratiques, ce qu’on appelle communément le bas astral. Ces entités floues, fragmentées, aiment frapper fort pour qu’on les écoute : mort, trahison, catastrophe. Leur but n’est pas de guider, mais de déséquilibrer.

Un praticien aligné sur la lumière, sur l’aide réelle, ne reçoit pas ces messages-là. Il reçoit des clés, pas des condamnations. La cartomancie n’est pas un jeu de sensationnalisme. Elle est un art de l’écoute subtile, de l’interprétation délicate, du miroir tendu à l’âme.

Prédire une évolution professionnelle, comprendre une dynamique affective, mettre des mots sur des blocages familiaux, oui. Annoncer une date de décès ? C’est passer d’un rôle de guide à celui de juge. Et ce n’est pas notre place.


Conclusion – Être une cartomancienne sérieuse éthique, c’est refuser le sensationnalisme

Prédire la mort, c’est céder à une illusion de pouvoir. Ce n’est pas de la lucidité, ni de l’intuition, c’est souvent un abus de langage, voire une imprudence. Une cartomancienne sérieuse éthique ne cherche pas à impressionner. Elle éclaire, elle accompagne, elle traduit les symboles avec humilité et précision.

Les cartes — même les plus sombres — ne sont jamais des sentences. Elles sont des langages. Et dans ce langage, une guidance bien menée peut consoler, réveiller, remettre en mouvement. Elle ne dramatise pas, elle éclaire.

Dans mon approche, il ne s’agit pas de faire frissonner, mais de vous offrir un éclairage juste, incarné, utile. Parce que poser une question, c’est déjà une forme de courage. Et répondre avec sérieux, c’est la moindre des choses.

Tirer les cartes, ce n’est pas impressionner. Ce n’est pas « prouver qu’on a un don ». Ce n’est pas prédire l’irréparable. C’est écouter. Accompagner. Traduire. Mettre du sens là où il y a du flou.

Je tire les cartes avec le sérieux d’une professionnelle et la chaleur d’une amie. Avec l’aide des énergies de lumière, et la certitude que ce qui est transmis peut vous faire du bien. Ce n’est pas une posture. C’est une promesse.


Ce que je crois. Ce que je pratique.

Je tire les cartes avec rigueur, oui. Mais surtout avec respect — pour vous, pour votre histoire, et pour les énergies qui me guident.

Avant chaque tirage, je me connecte uniquement aux guides de lumière pure. Il n’y a pas d’interférence : le message vient de là-haut. Je ne suis qu’un canal, une interprète qui transmet ce que les cartes révèlent.

Vous venez chercher un éclairage sur ce qui vous préoccupe, une lumière sur le futur proche, une main tendue pour mieux avancer.

Marie – cartomancienne sérieuse éthique

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